Nous
Un groupe de personnes qui a beaucoup d’idées….
- veut sauver autant que possible les traditions populaires, les souvenirs du territoire et l’enseignement provenant des personnes âgées qui sont trop souvent ignorées, non écoutées par une société dominée par une “culture du titre”, “du papier”, “de la hâte” ; une culture aveugle dans son Ego, fragile dans son propre ego, incapable de voir la richesse préservée de ces personnes qui repartent avec ce bagage de connaissances si important pour l’équilibre de notre Etre, notre Santé….
- veut éveiller la valeur et l’importance de certaines traditions importantes…..
- s’efforcer de sauvegarder l’environnement dans lequel ils vivent….
- veut faire du sport de la manière la plus naturelle possible …..
- veut se retrouver loin d’un ordinateur, peut-être autour d’un feu, jouant… dansant… mangeant…. chantant…..
- veut “faire”, stimuler, proposer de la culture…..
- veut construire une’amitié autour de toutes ces valeurs…..
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La diffusione della pratica sportiva tesa al miglioramento della condizione fisica e psichica personale; al miglioramento degli stili di vita e delle relazioni sociali; la promozione di attività ricreative e culturali per l’esclusivo soddisfacimento di interessi collettivi.
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Recupero/mantenimento delle nostre tradizioni, attraverso un approfondito lavoro di ricerca sul campo e completato in biblioteca, nei musei ecc, dove i ricercatori ISA, hanno il compito specifico di recuperare la “fisiologia corretta” ciò il modo in cui la persona si adopera per compiere quel lavoro, quella cosa, ecc. Questo lavoro chiamato Ricerca “Etnofisiologica” è la materia base di tutte le attività I.S.A.
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Promuovere la diffusione della cultura ambientalista e naturalista, cercando di salvaguardare l’ambiente in cui viviamo attraverso la promozione e l’utilizzo di prodotti biologici ecocompatibili e possibilmente a “km 0”
Fondateur de l’école I.S.A.
Instructeurs internationaux
Anne Brown de Colstoun
Christine Provost
Georgette Chabin
Georgia Leconte
Ginette Guédu
Nicole Blouet le Coz
Odile Thibault
Instructeurs nationaux
Claude Richard
Danielle Bouvier
Francette Lagrede
Marc Lerude
Monique Auffret
Monique Riou
L’aplomb, “être sur l’ axe”, c’est la posture correcte dans toutes les positions de la vie quotidienne. C’est la position de relaxation maximale celle qui génère le moins de fatigue et que chaque personne a ou a eu et peut retrouver si elle est perdue, en toute circonstance de la vie. Chaque espèce se stabilise quand elle a trouvé un certain aplomb, un certain équilibre dans la force de gravité et quand elle sort de cet aplomb, elle se dégrade : l’équilibre osseux devient imparfait, le jeu naturel du système nerveux est perturbé, une sensation d’inconfort surgit apparemment sans cause.
Ce sont les causes probables de plusieurs de nos maladies telles que : douleurs au dos, au cou, à la hanche, au genou, au pied, aux épaules, fatigue oculaire, respiration courte et insuffisante, etc.
Actuellement, beaucoup de gens vivent avec le bassin légèrement tendu vers l’avant, c’est-à-dire en tension continue, tension à laquelle ils sont tellement habitués qu’ils ne la perçoivent plus. Le retour “simple” vers l’axe, c’est à dire l’anté version du bassin, est en soi une thérapie dont les effets bénéfiques sont inimaginables. Cet axe est naturel pour nos grands-parents ou arrière-grands-parents est encore naturel pour toutes les personnes vivant dans une civilisation traditionnelle (Portugal, Italie du Sud, Inde, Inde, Afrique, Amérique du Sud, etc….) et aussi pour nos enfants jusqu’à quatre ou cinq ans.
Pendant les cours, les instructeurs étudient et analysent les problèmes posturaux inhérents à la vie quotidienne, au travail et au sport, dans le but d’éliminer les attitudes et postures incorrectes. Selon les besoins, exercices de renforcement, étirements et Do In.
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Concept
L’Aplomb est une rééducation naturelle des attitudes de la vie quotidienne par une étude approfondie de l’équilibre de l’être humain tel qu’il s’est constitué au cours de l’évolution.
Que signifie le mot “aplomb” ? Quand l’employons nous dans le langage courant ?
On dit par exemple : “cette fenêtre est de guingois, elle n’est pas d’aplomb” ou encore : “cette table n’est pas d’aplomb, mets une cale sous un pied”.De quelqu’un qui “déraille” un peu, on dit qu’il n’est pas d’aplomb dans sa tête…Lorsque l’on est bien planté dans sa tête et sur ses deux pieds, que l’on est sûr de soi, le mot “aplomb” peut devenir péjorativemet le synonyme de : “avoir du culot”.En effet ne pas manquer d’aplomb c’est sentir sa base (la base du tronc) et ses arrières bien assurés.
Discourir de l’aplomb ne sert à rien, il faut aller observer des gens qui ne l’ont pas perdu : petit à petit rééduquer notre oeil, pour observer ceux qui offrent dans leur ensemble une allure et une noblesse d’homo-sapiens bien planté.
L’aplomb ne peut-être en aucun cas transmis par des mots – ni relever d’un enseignement universitaire classique. Il s’agit d’éveiller la sensation juste, une sensation de l’équilbre des poids et contre-poids de chaque os, muscle, obéissant à la gravité.Des cours et séminaires permettront de voir et sentir cet aplomb de l’être humain tout entier.
Ajoutons enfin que l’originalité et la force de l’Institut Supérieur d’Aplomb (I.S.A), est de former des chercheurs en ethnologie qui transmettent aux autres ce que le terrain leur fait peu à peu découvrir.
Historique
Comment s’est développé l’Aplomb ?
Noëlle PEREZ-CHRISTIAENS a commencé en 1959 à travailler le yoga avec B.K.S. Iyengar. En 1976, au cours d’une session à Paris, il lui ouvre les yeux sur le fait que les Occidentaux ont le poids en avant, que leur dos se voûtent, qu’ils sont raides.
Visitant une exposition sur l’Égypte puis le musée Guimet, il attire son regard sur des statues anciennes : les unes semblent tomber dans une chute perpétuelle tandis que les autres sont comme tirées vers le haut. Noëlle se met au travail et comprend qu’il y a là une piste essentielle pour aider les Occidentaux à retrouver les bases de leur équilibre physique, psychique et même spirituel, en s’ouvrant sur la beauté et la noblesse des personnes qui n’ont pas perdu l’aplomb. Elle fonde, en 1978, l’Institut Supérieur d’Aplomb (ISA) et part avec son équipe sur différents ” terrains ” à la recherche de personnes qui sont encore d’aplomb pour les prendre comme exemple. Elle remarque que chez un enfant qui commence à se mettre debout, tout s’organise instinctivement vers l’équilibre.
L’observation attentive révèle des trésors sur une autre façon d’être et de vivre. Cela conduit à s’observer soi-même et à travailler pour retrouver les fondements de l’aplomb. L’aplomb est l’art d’être debout, d’être assis, de se mouvoir avec aisance, sans tensions. Il est la connaissance qui devrait être à la base du yoga, du taï-chi, de tous les sports, de la danse, etc. Sans cela, ces techniques risquent d’être sources de souffrances plutôt que de bien-être. Les chercheurs de l’ISA apprennent aux élèves à sentir, à percevoir l’attitude juste, en développant l’observation et l’attention.
Certains élèves pourront devenir eux-mêmes des chercheurs de terrain et transmettre, à leur tour, le fil retrouvé de l’aplomb. Des cours et des séminaires sont donnés à Paris, en Province et à l’étranger. Les élèves y découvrent l’aplomb du bassin, des pieds, de la colonne vertébrale et retrouvent une respiration naturelle, l’équilibre du système nerveux, une plus grande aisance, un bien-être et un approfondissement vers une spiritualité plus profonde.